Découvrez des articles récents et diversifiés avec CVS Thérapies et Christophe VAN SCHAMMELHOUT, naturopathe et ostéothérapeute expérimenté qui vous informe des actualités sur votre santé (source du magazine Alternatve Santé).
rédigé le 30 juillet 2024 à 0h00
Deux études récentes rappellent l'influence de la fréquence des selles sur la santé à long terme. Une fréquence anormale, qu'elle soit trop élevée (diarrhée) ou trop faible (constipation), peut contribuer au développement de maladies chroniques ou de problèmes cardiovasculaires.
rédigé le 30 juillet 2024 à 0h00
Alors que le contact physique connaît aujourd’hui de nombreuses entraves – interactions à distance, appréhensions postpandémiques, suspicion d’agression sexuelle, etc. –, une nouvelle étude néerlandaise rappelle l’importance du toucher pour notre bien-être général.
Depuis quelques décennies déjà, un intérêt croissant est porté aux plantes classées comme " adaptogènes " telles que ginseng, cordyceps, éleuthérocoque, astragale, maca, rodhiole, ashwagandha…Et pour cause, elles sont une réponse efficace de soutien à nos organismes sollicités constamment par notre mode de vie moderne. Voyons ensemble en quoi elles peuvent nous aider, et quelle plante répond au mieux à quels types ou phases de stress.
Un rapport du médecin en chef des États-Unis pointe une fois de plus les risques pour la santé auxquels expose la solitude.
Diarrhée, constipation : quel impact sur la santé à long terme ? Deux études récentes rappellent l'influence de la fréquence des selles sur la santé à long terme. Une fréquence anormale, qu'elle soit trop élevée (diarrhée) ou trop faible (constipation), peut contribuer au développement de maladies chroniques ou de problèmes cardiovasculaires. Les chercheurs ont étudié les données cliniques de plus de 1 400 individus en bonne santé, en excluant ceux sous traitement ou atteints de certaines maladies. Les résultats indiquent que les femmes, les jeunes et les personnes n’étant pas en surpoids (faible IMC) vont généralement moins souvent à la selle, ce qui les prédispose à la constipation et à des dysfonctionnements rénaux. Des différences hormonales et neurologiques pourraient expliquer ces variations. Diarrhée et constipation affectent le microbiote, le foie et les reins Cette étude révèle également que la fréquence des selles impacte la physiologie des individus. Une fréquence considérée comme normale (une à trois fois par jour) favorise la croissance dans l’intestin des bactéries bénéfiques et la fermentation des fibres alimentaires. Au contraire, la constipation ou la diarrhée déséquilibrent le microbiote, augmentent le passage des toxines dans le sang et certains risques pour la santé, notamment au niveau du foie et des reins. La fréquence des selles varie fortement d’un individu à l’autre. Or celle-ci influence directement la composition du microbiote intestinal, crucial pour la santé globale. Une diarrhée fréquente est liée à une moindre diversité microbienne, favorisant inflammation et sensibilité aux infections et ayant des effets négatifs sur le foie. À l'inverse, la constipation augmente la production de métabolites toxiques, impliquant des risques pour les reins et potentiellement des troubles neurodégénératifs. Une autre étude publiée en août 2024 suggère quant à elle que le fait de souffrir de constipation chronique pourrait être un facteur favorisant les évènements cardiovasculaires tels que l'insuffisance cardiaque, l'AVC ou le syndrome coronarien aigu, avec un risque accru d'environ 34%. Ces différentes découvertes rappellent l'importance de maintenir une fréquence normale de défécation (notamment grâce à une alimentation suffisamment riche en fibres) pour prévenir les maladies chroniques, même si vous êtes actuellement en bonne santé. (Sabrina Debusquat rédigé le 30 juillet 2024 à 0h00)
Depuis quelques décennies déjà, un intérêt croissant est porté aux plantes classées comme " adaptogènes " telles que ginseng, cordyceps, éleuthérocoque, astragale, maca, rodhiole, ashwagandha…Et pour cause, elles sont une réponse efficace de soutien à nos organismes sollicités constamment par notre mode de vie moderne. Voyons ensemble en quoi elles peuvent nous aider, et quelle plante répond au mieux à quels types ou phases de stress. Partie-1 Commençons par le début : qu’est-ce qu’une plante adaptogène exactement ? La définition réunit plusieurs caractéristiques : il s’agit d’un remède capable d’augmenter la résistance de l’organisme face à un stress (froid, effort physique, stress émotionnel, agression d’un agent pathogène, etc.) et de normaliser une ou plusieurs fonctions physiologiques. Bien entendu, l’absence de nocivité aux doses et formes galéniques préconisées est un prérequis, comme pour tout remède de phytothérapie. La définition est suffisamment vaste pour englober des plantes aux facettes finalement assez différentes, même si les mécanismes en jeu chez chacune d’elles auront partiellement des aspects communs. Parmi ces similitudes de mode d’action, il y a un effet sur une partie du système nerveux, appelé système neurovégétatif, et ses liens avec des glandes surrénales. Nos systèmes nerveux communiquent Pour faciliter la compréhension en anatomie, on sépare mentalement le système nerveux en deux parties : le SNC (système nerveux central), comprenant le cerveau et la moelle épinière, et le SNV (système neurovégétatif) comprenant les fibres nerveuses qui, partant de la moelle épinière, vont innerver toutes nos structures (muscles, organes, peau…) C’est par ces fibres neurovégétatives que le corps va faire circuler les informations : un organe va signaler sa souffrance, un muscle déchiré va demander sa réparation, le corps va réguler le rythme cardiaque, le diamètre des vaisseaux sanguins et mille autres choses. (Frédéric Bernard rédigé le 20 décembre 2023 à 12h20)
Alors que le contact physique connaît aujourd’hui de nombreuses entraves – interactions à distance, appréhensions postpandémiques, suspicion d’agression sexuelle, etc. –, une nouvelle étude néerlandaise rappelle l’importance du toucher pour notre bien-être général. Il est un peu désarmant qu’il faille une étude pour nous démontrer que le toucher (bienveillant, évidemment) participe de façon considérable à notre santé physique et mentale. C’est pourtant bien le propos de cette large revue d’études qui englobe les données de près de 13 000 participants au travers de plus de 200 études. Il en ressort que le toucher, qu’il soit dispensé par un proche, un tiers ou même un appareil, améliore considérablement le bien-être physique et mental à tout âge, en réduisant notamment la douleur, le stress et l’anxiété. Le toucher pour réduire douleur, dépression et anxiété Les « interventions tactiles » passées en revue ont été particulièrement efficaces sur les nouveau-nés, chez qui elles abaissent les niveaux de cortisol (l’hormone du stress) et favorisent la prise de poids. Chez les adultes, le toucher participe à la réduction de la douleur, du sentiment de dépression et des états d’anxiété. Les bienfaits du toucher sur l’état mental semblent encore plus profitables aux adultes avec des problèmes de santé, par comparaison avec les individus sains. Si les chercheurs n’ont pas constaté de différence significative dans les effets bénéfiques du toucher sur les adultes selon qu’il est prodigué par un proche ou un soignant, il n’en va pas de même des nouveau-nés qui profitent davantage du contact physique lorsque c’est avec un parent. Jean-Pierre Giess (rédigé le 26 juillet 2024 à 0h00)
Un rapport du médecin en chef des États-Unis pointe une fois de plus les risques pour la santé auxquels expose la solitude. La solitude n’est pas une maladie... mais elle a un impact indubitable sur la santé. De nombreuses études le confirment, elle augmente de 30 % la mortalité cardiovasculaire, mais aussi le risque de démence ou encore le risque de dépression et d’anxiété. Considérée depuis des années comme un problème de santé publique aux États-Unis, elle y est désormais qualifiée d’ urgence sanitaire : début mai, le Dr Vivek Murthy, médecin en chef de la nation, a publié un rapport de 81 pages (1) dans lequel il sonne l’alarme, affirmant qu’ un Américain sur deux souffre aujourd’hui de solitude... et que c’est aussi néfaste pour la santé que de fumer 15 cigarettes par jour ! Comme le rappelle le Dr Murthy, la solitude concerne tous les aspects de la société, qu’ils soient économiques, sociaux ou structurels. Les remèdes : plus d’infrastructures... mais surtout plus d’argent ! Comment y remédier ? « Le service est un puissant antidote à la solitude », rappelle-t-il avant de pointer dans son rapport – qui n’a cependant aucun pouvoir pour débloquer les fonds fédéraux nécessaires ! – qu’il faut des investissements de l’État dans les transports publics, l’ éducation, les services à la jeunesse, les bibliothèques et les espaces verts. Il encourage aussi employeurs et géants de la technologie à jouer leur rôle en matière de recherche et d’innovation, afin d’encourager les gens à se déconnecter des écrans et à se reconnecter entre eux ! Une étude citée dans ce rapport rappelle d’ailleurs que les personnes qui utilisent les (décidément mal nommés) réseaux sociaux, durant deux heures ou plus par jour, sont deux fois plus susceptibles de se sentir socialement isolées que celles qui les utilisent moins de 30 minutes par jour : une raison supplémentaire pour poser votre smartphone, surtout lorsque vous êtes en famille ou avec vos amis ! En France, depuis 2010, la Fondation de France publie annuellement un rapport sur le sujet. Le dernier en date (2), paru en janvier dernier, montre qu’en 2022 le sentiment de solitude concernait 11 millions de Français, soit 21 % de la population de plus de 15 ans. C’est un petit peu moins qu’en 2021, où les mesures prises pendant la pandémie avaient conduit 24 % de personnes à se sentir concernées… mais beaucoup plus qu’en 2010, où ce chiffre ne s’élevait qu’à 11 % (3). La cause (donc le remède) est en revanche toujours aussi claire : l’isolement social semble puiser sa source principalement dans la précarité et le chômage... Pourtant, ni nos organismes sociaux ni nos entreprises ne font grand-chose pour y remédier ! Il faut dire que nos autorités sanitaires ne semblent pas plus s’être alarmées que cela du problème… (Clara Delpas rédigé le 10 mai 2023 à 10h05)
Le microbiote, c’est tout un monde. Mais parmi les différentes colonies de bactéries qui le peuplent, lesquelles sont nos ennemies, nos amies ? Pourquoi faut-il les équilibrer, et comment s’y retrouver dans l’offre de prébiotiques, cobiotiques, probiotiques, etc.? Voyage au cœur d’un écosystème qui n’en finit pas de nous étonner. Le microbiote désigne l’ensemble des micro-organismes présents dans le corps humain, principalement des bactéries mais aussi des levures (microchampignons) et des virus, qui colonisent les muqueuses et barrières. Le microbiote intestinal est le plus connu parce qu’il est le plus peuplé, mais le vagin, la peau et les voies respiratoires ne sont pas en reste. Cette colonisation n’est pas anarchique, il y a des règles. D’une part, chaque micro-organisme occupe une niche : on ne trouvera pas les mêmes espèces dans tout le corps. D’autre part, nos cellules et les bactéries ont signé un contrat de vivre ensemble, une symbiose où chacun donne et reçoit. La recherche a démontré que tous les microbiotes agissent en réseau, le déséquilibre de l’un impacte les autres. Immunité, digestion, protection : le rôle du microbiote intestinal Parmi les fonctions majeures du microbiote intestinal, notons : la contribution à la digestion et au métabolisme énergétique la synthèse de vitamines, d’acides gras et d’acides biliaires une protection directe contre la prolifération de microbes opportunistes la régulation du système immunitaire le dialogue avec le système nerveux et avec la plupart des organes Des germes partout, et c’est normal Alors que l’on pensait le reste de l’organisme stérile, on ne cesse d’y trouver des bactéries symbiotiques. Le placenta a son microbiote, qui produit des nutriments utiles au développement du fœtus. La découverte récente d’un microbiote dans l’utérus, dont les contours restent flous, remet en question la théorie qui prévalait jusqu’ici, à savoir que le microbiote de l’enfant se met en place seulement à la naissance, au contact de la flore vaginale et fécale de la mère. Il y aurait même des bactéries symbiotiques dans le sein. C’est en étudiant le cancer du sein qu’on y a découvert des bactéries dont la présence semble tout à fait normale. La vision pasteurienne d’un être humain vierge de tout germe semble définitivement derrière nous. La symbiose est la règle Dans la nature, vous ne trouverez pas d’animaux ou de plantes exempts des micro-organismes, parce que la symbiose est la règle et non l’exception. On parle aujourd’hui d’holobionte pour désigner l’ensemble d’un hôte et de tous les micro-organismes qui y vivent. L’holobionte cumule les capacités et les ressources de l’hôte et de ses passagers. Il est constitué de milliards de micro- organismes qui ont une influence sur l’hôte, la digestion, le fonctionnement du système immunitaire, l’expression génétique et même le comportement. Au point qu’on peut légitimement se demander où se trouve exactement la frontière entre eux et nous. Et que pouvons-nous faire quand ça dérape ? Les outils de prévention et de traitement qu’on nous propose sont-ils fiables ? Cinq façons de préserver un microbiote équilibré Lorsque les populations bactériennes sont équilibrées en nombre et en répartition, on parle d’eubiose. Chez le nourrisson, l’allaitement apporte cet équilibre. Chez l'adulte, plusieurs facteurs favorisent cet état : Une alimentation variée contenant suffisamment de fibres et de polyphénols, peu de sucreries et sans pesticides et les additifs Une prise d’antibiotiques et d’anti- inflammatoires limitée aux cas strictement nécessaires Prendre le temps de manger et de bien mastiquer Pratiquer une activité physique régulière Apprendre à gérer votre stress et vos émotions. (Dimitri Jacques rédigé le 22 septembre 2023 à 10h46)
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Pour cette formule, les premiers rendez-vous ont une durée de 1h30 environ et les autres de 1h00 qui comprennent:
-L’instruction du dossier administratif;
-Réalisation de la découverte thérapeutique indispensable au traitement des différentes pathologies standards et spécifiques:
–Présentation et explication des thérapies;
–fasciathérapies standard et spécifique;
– Thérapie structurelle;
–Auriculothérapies standard et spécifique
-Reset Emotionnel Auriculaire (REA) standard et spécifique;
–Renforcement énergétique et circulatoire;
–Prescriptions de traitement;
–Posologie de traitement;
-Accompagnement complet.
En fonction de la découverte thérapeutique, un traitement de supplémentation, phytothérapie ou gemmothérapie sera peut-être proposé et non compris dans le tarif horaire de la thérapie.
Par contre, tous les produits sont disponibles.
A la découverte de ces nouvelles thérapies, cette formule vous permet de tester la fasciathérapie, l’auriculothérapie, le Reset Emotionnel Auriculaire (REA), le renforcement énergétique et circulatoire.
Cette nouvelle formule est essentiellement ciblée sur le stress, l’angoisse, l’anxiété ou le mal être, déprime, dépression ou burnout en agissant sur des fascias, zones et émotions spécifiques.
Le stress chronique est l’élément déclencheur de multiples pathologies sur votre santé physique et psychique (hypertension, nervosité, fatigue, troubles fonctionnels, organiques, digestif, tremblement, perte de cheveux, hyperthyroidie …) et il est donc primordial de le traiter régulièrement.
Ces tarifs ne comprennent pas de taxe, et intègre le temps de votre thérapeute lors de votre traitement, son déplacement, ses formations, sa veille thérapeutique, le chauffage, l’éclairage, la préparation du dossier, l’achat et entretien du matériel…
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"Le nouvel organe clé de votre santé: (éditions LEDUC) La transformation des systèmes de santé est en cours partout dans le monde. Selon un rapport de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), un état sur deux encourage la pratique de thérapies traditionnelles et/ou complémentaires en association avec la médecine moderne. De nouveaux enjeux individuels et socio-économiques nous obligent à reconsidérer notre approche de la santé et du bien-être. Chez les patients, de nouvelles attentes émergent, auxquelles médecins et professionnels de santé tentent de répondre en faisant évoluer leurs pratiques. Le développement de la fasciathérapie et de son usage dans les pratiques de soins s'inscrivent dans cette tendance. La fasciathérapie opère sur les fascias. C'est la spécificité. Ces derniers connectent toutes les parties du corps. Ils sont eux-mêmes affectés par les sensations physiques, l'activité mentale et les émotions. A l'inverse, soigner les fascias produit des effets bénéfiques sur ces 3 plans. L'ouvrage de Christian COURRAUD expose avec rigueur et clarté, dans un langage accessible à tous, les aspects clé de la méthode: De quoi parle t-on ? A quoi ça sert ? Comment ça fonctionne ? Comment travaille le fasciathérapeute ? Comment tirer bénéfice de la méthode dans la vie quotidienne ? A l'instar d'autres approches, la fasciathérapie est confrontée à 3 enjeux majeurs de la médecine de demain: La preuve scientifique, l'évolution des protocoles de soins et enfin, l'importance accordée au ressentit du patient dans le choix des traitements. Les médecins, les professionnels de santé et les patients manifestent une exigence accrue vis-à-vis des preuves d'efficacité et d'innocuité de toute thérapie, ce qui est parfaitement justifié. Cet ouvrage expose clairement les principes opératoires de la fasciathérapie en montrant qu'ils sont conformes aux exigences d'une médecine factuelle fondée sur les faits et les résultats de la recherche clinique. En expliquant les mécanismes d'action, en présentant des études cliniques avec un soucis d'évaluation, Christian COURRAUD apporte aux prescripteurs de soins comme aux patients des arguments scientifiques qui valident cette approche thérapeutique. Les protocoles de soins tendent à évoluer vers une médecine intégrative. On entend par là une approche pragmatique et personnalisée qui associe intelligemment la médecine moderne, voire high tech, aux diverses thérapies qui ont fait leurs preuves. L'association entre chirurgie et hypnose en est l'exemple le plus souvent cité. Dans la perspective de protocoles de soins intégrés, la fasciathérapie apporte des solutions thérapeutiques: Pour prévenir l'apparition de pathologies et permettent d'éviter que des troubles passagers ne s'aggravent; Pour soigner, en allégeant les symptômes d'une maladie, en améliorant la qualité de vie lors d'une maladie et en optimisant l'efficacité des traitements médicaux; Pour guérir, en contribuant seul ou en association avec une approche médicale classique, à résoudre un problème de santé ou à en atténuer les conséquences.
Extrait d'une interview avec le Professeur Grégoire JAUVAIS, médecin , biologiste, et l'un des pères fondateur de la naturopathie. docteur en naturopathie docteur en médecine aux Etats-Unis docteur en psychologie docteur en science spécialisée en biologie Conférencier Enseignant Fondateur de l'université des sciences de l'homme et de l'environnement "Il est d'abord significatif d'aborder la définition de la santé: Un être humain est animé par une force vitale, et cette vitalité donne le rendement à nos organes. Plus la vitalité est élevée et plus le rendement organique est important, et plus on est en bonne santé. La santé peut se définir par une propreté intérieure du mental et du corps physique, une hygiène interne psyco-biologique en quelque sorte. Les organes fonctionnent normalement, les digestions et éliminations sont bonnes, tant que les sorties compensent les entrées, on est en équilibre et l'équilibre c'est la santé ! La maladie c'est tout le contraire, le stress, les insomnies, les poisons que nous mangeons ou avalons, que nous générons en nous par nos émotions. Cette accumulation des poisons lorsque la force vitale diminue, parce que l'on mange des aliments sans énergie, constitue une morbidité qui est la cause déclenchante d'une réaction de l'organisme, normal et physiologique , qui vise à se débarrasser de ces poisons. Cette réaction se caractérise par des symptômes qui révèlent une crise d'épuration pour un naturopathe mais qui est une maladie pour le médecin. Un naturopathe ne combat pas la maladie mais supprime la cause de la maladie, la cause profonde, la cause des causes La maladie est une saleté interne mentale et organique qui est expulsée par la force vitale réactionnelle qui ne tolère plus cette accumulation de déchets et de résidus métaboliques: Notre vitalité accepte un certain degré de morbidité propre à chacun, ce qui définit notre seuil de tolérance. L'organisme cherche à expulser tous ces poisons qui constituent la maladie. On peut citer aussi la maladie accidentelle et non accidentelle ou usuelle. La prédisposition particulière de l'organisme qui fait qu'un individu réagit d'une manière personnelle à l'influence des agents extérieurs est idiosyncratique La naturopathie vise à entretenir la propreté intérieure et à désintoxiquer le milieu intérieur alors que la médecine réprime le symptôme ou palie à une insuffisance fonctionnelle. 8 à 10% voire 15% de la population aurait besoin de seulement de la médecine allopathique, d'urgence, si on était tous en bonne santé. L'humain refuse de se responsabiliser , ne veut pas se corriger et veut des médicaments miracles ! La naturopathie est faite pour les intelligents. La naturopathie n'est pas une médecine douce car il faut s'investir, on doit se responsabiliser et ne pas penser que c'est de la faute des autres. On vit, on mange mal, on pense à l'envers. La naturopathie à 2 volets: 1 volet de prévention 1 volet de curation La fausse naturopathie, c'est de s'occuper du symptôme et non de la cause. La médecine chimique est championne du symptôme. Le terrain est tout et le microbe n'est rien tant sur le plan psychologique et biologique. C'est pas le moustique qui fait le marécage mais le marécage qui donne naissance aux moustiques et nous fabriquons donc notre propre microbiote qui nous aide à nous débarrasser de nos microbes. Tous les toxiques dans le tube digestif provoquent une dégénérescence du microbiote et une mutation qui donne naissance a une bactérie pathologique dite pathogène et donc un saprophyte malade, microbe pathologique et non physiologique. C'est un éboueur malade et comme il est malade il secrète des toxines propres à sa maladie qui empoisonne l'organisme. "
La NATUROTHERAPIE: CLES, PRATIQUES ET CONSEILS La guérison au naturelle (Les éditions du net David K.FAHMI Docteur en Naturopathie Doctorat en Médecine Orientale Chercheur en Médecine Energétique Humaine Révélateur des techniques PEBSER Auteur des ouvrages 8 thérapies en 1 (Edition du Net 2015) et Intervention Chakra-Méridien (Edition du Net 2017) " La naturothérapie est une science qui regroupe une multitude de connaissances et de techniques qui permettent au thérapeute de choisir le traitement le plus efficace pour son patient. Son rôle est de tout mettre en oeuvre pour faire en sorte que votre corps puisse retrouver l'équilibre et l'harmonie. C'est cet état d'équilibre et d'harmonie énergétique et psychique qui permet à votre organisme de retrouver le chemin de la santé. Il existe une différence entre naturopathie et naturothérapie: La naturopathie correspond aussi à l'art de soulager d'une manière naturelle. Le naturopathe, tout comme le naturothérapeute, cherche à stimuler le plus naturellement possible l'organisme pour retrouver l'état de santé. Il va stimuler les défenses naturelles de l'organisme en proposant des purges, des drainages, un changement d'alimentation et en prescrivant lorsque cela est nécessaire des traitements d'appoint à base de plantes, d'oligo-éléments, de compléments vitaminés, etc. La naturothérapie va plus loin, puisqu'elle englobe également des techniques de soins naturels que ce soit la Bioénergie, l'Acupuncture, le Dien Chan, la Réflexologie, l'Auriculothérapie, la Médecine des ventouses, l'Iridologie, l'Hypnose, le Drainage lymphatique, la Nutrition, la Phyto-aromathérapie, la Gemmothérapie, l'Oligothérapie, les Fleurs de Bach, le Massage Rénovateur, et bien d'autres thérapies. POURQUOI S'INTERESSER A LA NATUROTHERAPIE ? Nul doute que la médecine conventionnelle soit nécessaire, en particulier en cas d'urgence. Alors pourquoi de nos jours un nombre croissant de personnes cherchent-t-elles des alternatives à cette médecine qui a été considérée pendant des décennies comme la seule solution à tous nos maux ? Les raisons sont multiples et dépendent de chaque individu. Certains évoquent les scandales causés par les produits issus de l'industrie pharmaceutique, d'autres les effet indésirables de la plupart des médicaments chimiques ou encore la surmédicalisation proposée par certains médecins sur une trop longue durée. A ce propos, qui n'a pas en tête les dégâts causés par l'usage massif des antibiotiques ? On sait que certaines bactéries sont devenues résistantes à l'antibiotique censé les éradiquer (on parle d'antibiorésistance), ce qui devient un véritable problème de santé publique. Il semblerait en effet que dans un horizon très proche la majorité des antibiotiques utilisés actuellement seront inefficace pour le traitement des maladies. Et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Alors un peu de méfiance, un peu parce qu'on cherche une autre façon de prendre soin de soi, nous sommes nombreux à ressentir le besoin de comprendre et découvrir les médecines différentes ainsi qu'un large éventail thérapeutique dans lequel nous pouvons trouver des solutions à nos différentes attentes. La naturopathie fait incontestablement partie de ces médecines complémentaires permettant d'entretenir et si besoin de recouvrer la santé. Mais de quoi s'agit-il au juste ? Sous ce terme qui évoque la nature, nous retrouvons une discipline qui utilise les techniques modernes et ancestrales pour maintenir et renforcer la santé. Elle se base sur l'idée que l'être humain possède une capacité d'auto guérison et s'appuie sur la force vitale. On constate que les personnes qui s'intéressent à la naturopathie aiment en général la nature et se sentent proches des techniques de soin naturels. Elles ont
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